Jean-Luc Fardin : ma Reverso prend le large tous les jours
Ma session de navigation de rêve ? Ce serait un bon vent d'ouest entre Barbatre et Guérinière pour faire un grand bord de 7 milles à pleine vitesse au reaching. "
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Jean-Luc n'en peut plus d'attendre : " la navigation de mes rêves ? Ce serait un bon vent d'ouest entre Barbatre et Guérinière pour faire un grand bord de 7 milles à fond au reaching. C'est ce que j'attends. " Pour ce pharmacien nantais, il n'est pas encore temps de naviguer, mais il compte les jours avant de pouvoir remettre le dos à l'eau.
[Note de l'éditeur : ITW a réalisé l'étude juste avant la fin de la fermeture de mai 2020].
A Fromentine, face à Noirmoutier, il est au bord de l'océan tous les jours de l'été. Parfois, ce quinquagénaire emmène ses petits-enfants pour une petite sortie, mais le plus souvent, c'est une belle escapade sur les plages de Noirmoutier. "Je pars avec une VHF, un téléphone portable, et je ne suis jamais très loin de la côte", explique Jean-Luc, qui aime autant le petit temps que le grand vent. "A 7 nœuds, je suis en train de naviguer. Je ne sors pas quand il y a moins, car il y a beaucoup de courant à Fromentine. Je m'amuse dans la pétole, avec un enfant, c'est très sympa. Mais j'aime aussi les conditions plus toniques. A partir de 20 nœuds, c'est sympa, et à 25 nœuds, le Reverso est parfait. Sur un plan d'eau abrité comme la baie de Fromentine, on est dans un avion. Quand on sort à 25 nœuds pendant deux heures sur un dériveur, on dort bien la nuit ! "
Quand je veux naviguer, je démonte le bateau, je le mets à l'eau n'importe où et je n'ai besoin de personne. Plus c'est simple, plus le bateau navigue !
J'avais des doutes sur la rigidité de l'ensemble, mais c'était une idée préconçue avant de le tester. Il faut toujours se faire une idée quand on teste le produit. C'est ce que j'ai fait à La Baule, et j'ai accroché. Je compare le bateau à un petit kart, c'est très vivant, c'est ce que j'aime".
Planche à voile, catamaran, croisière, Jean-Luc a navigué sur tout ce qui flotte, ou presque, mais il ne jure que par le dériveur monocoque. L'engin demande de la finesse à la barre, offre des sensations, et surtout n'a pas d'équivalent en termes de simplicité. "Je n'ai pas beaucoup de temps et le monocoque est facile à manier. Quand je veux naviguer, je descends le bateau, je le mets à l'eau n'importe où et je n'ai besoin de personne. Plus c'est simple, plus le bateau navigue. Mon Reverso sort tous les jours alors que les grands croiseurs, dorment souvent dans des marinas. "
Dans quelques jours ou quelques semaines, Jean-Luc reprendra lui aussi la mer. On pourra apercevoir la silhouette de sa Reverso un peu partout le long de la côte de Noirmoutier puisqu'il a prévu d'en faire le tour complet.
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